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  Bertrand Clauzel | 
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  Naissance | 
  12 septembre 1772 | 
    | 
 
 
  | pl-multilingual | 
  Mirepoix (Ariège) | 
 
 
  | twanclik | 
  Décès | 
  21 avril 1842 (à 69 ans) | 
    | 
 
 
  | monita-secreta.fr | 
  Cintegabelle | 
 
 
  | http://fr.vans.free.fr/ | 
  Origine | 
   
  
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  | index2 | 
  Allégeance | 
   
  
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  | R1a1a1b1a1-m458-alans | 
   
  
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  | pl-multilingual | 
   
  
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  Arme | 
  Infanterie | 
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  Cavalerie | 
 
 
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  Dignité d'État | 
  Maréchal de France | 
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  |   | 
  Années de
  service | 
  1791 – 1837 | 
    | 
 
 
  |   | 
  Commandement | 
  Gouverneur de Raguse | 
    | 
 
 
  |   | 
  Armée d'Afrique | 
 
 
  |   | 
  Gouverneur de l'Algérie | 
 
 
  |   | 
  Conflits | 
  Guerres révolutionnaires | 
    | 
 
 
  |   | 
  Guerres napoléoniennes | 
 
 
  |   | 
  Conquête de l'Algérie | 
 
 
  |   | 
  Distinctions | 
  Grand-croix de la
  Légion d'honneur | 
    | 
 
 
  |   | 
  Chevalier de Saint-Louis | 
 
 
  |   | 
  Hommages | 
  Nom
  gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile | 
    | 
 
 
  |   | 
  Autres
  fonctions | 
  Pair de France (Cent-Jours) | 
    | 
 
 
  |   | 
  Député des Ardennes | 
 
 
  |   | 
  Famille | 
  Neveu de Jean-Baptiste Clauzel | 
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  Bertrand
  Clauzel, né le 12 septembre 1772 à Mirepoix (Ariège) et mort le 21 avril
  1842 à Cintegabelle (Haute-Garonne), est un général français
  de la Révolution et de l’Empire, anobli
  par Napoléon Ier et fait maréchal de France par Louis-Philippe. | 
 
 
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  Biographie[modifier | modifier le code] | 
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    | Général Bertrand Clauzel (1772-1842), comte d'Empire, alors
    capitaine Clauzel du 43e de ligne en 1792 (Georges Rouget). | 
    
   
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  Origines
  familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] | 
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  Issu d'une
  famille de la chaudronniers du Cantal (St Cernin et St Chamant), il est le
  neveu de Jean-Baptiste Clauzel, député à la Convention. | 
 
 
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  La Révolution[modifier | modifier le code] | 
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  Premières
  campagnes[modifier | modifier le code] | 
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  Bertrand
  Clauzel choisit la carrière des armes, et le 14 octobre 1791, il est
  sous-lieutenant au régiment de Royal-Vaisseaux, devenu le 43e de ligne. La déchéance de Louis XVI, prononcée par l'Assemblée
  législative, le pousse toutefois à démissionner
  le 15 septembre 1792. Il reprend du service le 14 avril 1793, dans
  un bataillon de volontaires de la légion
  des Pyrénées, avec le grade de capitaine dans
  les chasseurs à cheval. Nommé adjudant-général chef de bataillon à
  l'état-major de l'armée des Pyrénées-Orientales le 5 avril 1794, il passe adjudant-général chef de
  brigade le 13 juin 1795. Chargé de porter à Paris 24
  drapeaux enlevés aux Espagnols et aux Portugais, il les présente à
  la Convention nationale le 16 mars 1795. | 
 
 
  |   | 
  Après
  le traité de Bâle conclu
  avec l'Espagne le 22
  juillet 1795, il accompagne le général Pérignon, envoyé en ambassade à Madrid en décembre 1795. Il rentre en
  France lors du remplacement de cet ambassadeur par l'amiral Truguet, en septembre 1797. Il
  sert ensuite à l'armée d'Angleterre en qualité de chef d'état-major du général Grouchy en mars 1798, qu'il
  suit quelques mois plus tard à l'armée d'Italie. | 
 
 
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  Campagnes
  d'Italie[modifier | modifier le code] | 
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  À cette
  époque, le général Joubert a en face de lui les Russes et les Autrichiens marchant
  sur l'Adige, et sur
  ses arrières les troupes du roi de
  Sardaigne, quoique ce prince ait pris
  l'engagement de fournir à l'armée française un contingent de
  10 000 hommes. Joubert ordonne au général Grouchy, le 7 frimaire, de
  prendre le commandement de la citadelle de
  Turin, et dans la lettre qu'il lui fait écrire
  le 11 par Suchet,
  son chef d'état-major, il ajoute : « Ne sera-t-il pas possible
  au premier mouvement de nos troupes de gagner le confesseur du roi, et de
  l'engager à déterminer son pénitent à abdiquer ? Ce seul acte de Sa Majesté opérerait la
  révolution… Il faudrait que l'acte d'abdication portât ordre aux Piémontais et à l'armée de
  se tenir tranquilles et d'obéir au gouvernement
  provisoire : sans cela il ne ferait
  qu'inviter le peuple à la révolte. » Le général Grouchy obéit et
  entame l'affaire, puis il charge Clauzel, son chef d'état-major, de suivre
  sous son influence la négociation commencée. Clauzel poursuit donc ostensiblement
  auprès de Charles-Emmanuel la remise de toutes les places fortes et le
  commandement de toutes les troupes piémontaises, et moins ouvertement
  l'abdication du roi. Le 17, tout est fini : il n'y avait plus de
  monarchie en Piémont. Le général Grouchy écrit alors à Joubert : | 
 
 
  |   | 
  « Les
  détails des moyens que j'ai employés et des difficultés de tout genre que
  j'ai eu à vaincre vous seront transmises par mon adjudant-général (Clauzel)
  qui, dans cette occurrence, m'a secondé avec zèle, énergie et
  dévouement. » | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
   | 
 
 
  |   | 
  Et le même
  général termine ainsi sa lettre du 9 nivôse, adressée au Directoire exécutif : « Permettez,
  citoyens-directeurs, que je vous désigne l'adjudant-général Clauzel comme
  m'ayant parfaitement secondé dans toutes mes opérations. ». Le roi de
  Sardaigne lui fait parvenir un des meilleurs tableaux de sa galerie, La Femme hydropique, de Gérard Dow, dont Catherine II et Paul Ier ont successivement offert un million. Clauzel fait
  hommage de ce tableau au Directoire exécutif (lettre du 12 décembre
  1798), qui s'empresse d'en enrichir le musée
  du Louvre. Nommé général de brigade le 5
  février 1799, il a plusieurs fois l'honneur d'être mentionné dans les
  rapports des généraux en chef, notamment à la bataille de Novi où il se
  distingue en dégageant l'aile gauche de l'armée fortement menacée. Le
  gouvernement consulaire le met en disponibilité le 1er juillet 1801,
  et il quitte l'Italie. | 
 
 
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  Le Consulat
  et l'Empire[modifier | modifier le code] | 
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  L'expédition
  de Saint-Domingue[modifier | modifier le code] | 
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  |   | 
  Attaché le
  11 brumaire an X à
  l'armée de Saint-Domingue, le « capitaine-général » Leclerc le nomme le 2
  vendémiaire an XI général de division, promotion confirmée le 18 décembre 1802 par Rochambeau, commandant en chef
  depuis la mort de Leclerc le 2 novembre 1802. Clauzel s'empare sur ses
  ordres du Port-de-Paix et du fort Dauphin ; chargé du commandement de la ville du Cap-Français, il la met dans le
  meilleur état de défense possible. En fructidor an XII, se trouvant en désaccord
  avec le général en chef Rochambeau, il est renvoyé en France en même temps
  que le général Thouvenot. Le 23 germinal an XII, il est inscrit sur le tableau de
  l'état-major général de l'armée de terre et mis en disponibilité le même
  jour ; il reçoit la croix de commandant de la Légion d'honneur le 25
  prairial an XII, mais reste sans emploi pendant près de deux ans. | 
 
 
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  L'armée de
  Dalmatie[modifier | modifier le code] | 
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  L'Empereur
  se décide enfin à lui donner de l'activité à l'armée du
  Nord le 18 novembre 1805, à l'armée de
  Hollande le 26 mars 1806. Mis à nouveau en disponibilité en 1806, il
  passe à l'armée d'Italie sous les ordres d'Eugène
  de Beauharnais, qui le charge du commandement de
  tous les dépôts de l'armée de Naples. Il rejoint le 8 janvier 1808, l'armée de Dalmatie, et
  reçoit le titre de baron de l'Empire le 19 mars suivant - les lettres patentes lui
  parviennent le 11 juin 1810. C'est à cette époque qu'il est appelé aux
  fonctions de gouverneur de Raguse. En juillet 1809, l'armée de Dalmatie forme le 11e corps de
  la Grande Armée.
  Après la paix qui suit la bataille de
  Wagram, Clauzel commande ce corps avec lequel il
  est chargé de prendre possession des provinces
  illyriennes. | 
 
 
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  L'armée de
  Portugal et la campagne d'Espagne[modifier | modifier le code] | 
 
 
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  Nommé grand officier de la Légion d'honneur le 17 juillet 1809, il est envoyé en Espagne auprès du
  général Junot et
  du maréchal Masséna. Il devient, le 29 décembre suivant, chef de la 1re division
  du 8e corps
  de l’armée d'Espagne,
  qui fait partie de celle de Portugal. Pendant le siège
  d'Astorga, il bat et repousse jusque sur
  la Galice le
  corps espagnol en position à Villafranca. Après s’être battu vaillamment à Sobral, où il résiste à un
  ennemi très supérieur en nombre, il assiège Ciudad
  Rodrigo. Quand l’armée
  de Portugal rentre en Espagne au mois de
  mai 1811, après une mémorable retraite menée par Clauzel souvent comparée
  à celle de Russie, elle passe sous les ordres du duc de Raguse et il prend
  le commandement de celle du Nord. Mais Clauzel en reprend le commandement le 22 juillet
  1812, de l'armée du Portugal pendant la bataille
  des Arapiles, où Marmont et le commandant en
  second, le général Bonet, sont blessés par un shrapnel dans les premières minutes de
  l'engagement. | 
 
 
  |   | 
  « La
  bataille était perdue sans ressources, et l'armée française anéantie, lorsque
  le général Clauzel parut sur le point le plus critique, rétablit l’ordre, et
  se maintint sur le champ de bataille jusqu'à la nuit… La belle manœuvre du
  général Clauzel répara, autant qu’il était encore possible, le mal déjà fait,
  et valut à cet habile tacticien le surnom mérité de héros malheureux des
  Arapiles. » | 
 
 
  |   | 
  . | 
   | 
 
 
  |   | 
  Ce
  jour-là, il sauve l’armée et change une déroute imminente en une savante
  retraite. Cependant, blessé d'un coup de feu au pied droit, il remet le 18
  août le commandement au général Souham et demande un congé. Nommé commandant en chef de
  l’armée du Nord en Espagne et grand-croix de l'ordre
  de la Réunion en janvier et avril 1813, il
  participe à la déroute de Vitoria, qui commence le 21 juin, et fait retraite en France
  par Jaca et Oloron sans avoir eu aucun
  combat à livrer. Le 6 juillet, il reçoit le commandement de l’aile gauche de
  l’armée d'Espagne (comprenant l’armée du Nord) et de cette date
  jusqu’au 10 avril 1814, jour où le duc
  de Dalmatie livre la bataille de Toulouse, Clauzel a
  à faire face à une longue suite de combats qui s’achèvera avec la bataille d'Orthez le 27
  février 1814. Lorsque Wellington communique à l'armée française l'abdication de
  l'Empereur, Clauzel opine le premier, dans une réunion de généraux, pour que
  l'on n’ait aucun égard à cette notification tant qu’elle ne serait pas faite
  par l’Empereur lui-même ou par l’intermédiaire de son major-général. Il est
  un des derniers à mettre bas les armes en 1814. | 
 
 
  |   | 
  La
  Restauration[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  La Première
  Restauration et les Cent-Jours[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Fait chevalier de Saint-Louis le 1er juin 1814, il
  est désigné le 30 décembre pour remplir les fonctions d'inspecteur-général
  d'infanterie, et obtient le 14 février 1815, la grand-croix de la Légion d'honneur,
  qu'il a demandée le 10 août précédent. Son titre de comte, conféré par
  Napoléon en 1813 sans que les lettres patentes en aient jamais été publiées,
  lui est également confirmé. | 
 
 
  |   | 
  Faisant
  partie des premiers à s'être déclarés en faveur de Napoléon à son retour de l'île
  d'Elbe, il prend le commandement de Bordeaux et y étouffe le
  mouvement insurrectionnel insufflé par la duchesse
  d'Angoulême, avant de forcer cette dernière à
  quitter la ville. Nommé tout d'abord gouverneur provisoire de la 11e division
  militaire, puis commandant en chef du corps d'observation des
  Pyrénées-Orientales, il devient le 28 mai gouverneur permanent des 11e et 20e divisions
  militaires, et est élevé à la dignité de pair
  de France le 2 juin. Il oppose, à la tête
  de l'armée du Midi,
  une énergique résistance aux ennemis qui envahissent les départements
  du Midi. Après
  la Bataille du Mont-Saint-Jean, il s'oppose à ce que le drapeau blanc soit arboré à
  Bordeaux et ordonne au 66e de ligne, placé en ordre de bataille sur la place, de faire feu
  contre les attroupements royalistes, et crée une commission militaire. Le 22
  juillet, ayant perdu tout espoir de voir Napoléon se réunir aux troupes sous
  son commandement, ainsi qu'on le lui a fait espérer, il ordonne à la garnison
  d'évacuer la ville et laisse arborer le drapeau de la Restauration. | 
 
 
  |   | 
  L'exil[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Compris
  dans l'article 1er de l'ordonnance du 24
  juillet 1815, qui ordonne l'arrestation et la
  traduction devant un conseil de guerre « des généraux et officiers
  qui ont trahi le Roi avant le 23 mars », le général Clauzel, qui se rend
  à l'armée de la Loire,
  doit se soustraire aux poursuites dirigées contre lui et parvient à
  s'embarquer pour les États-Unis dans le courant du mois de novembre, avec le concours
  du roi Christophe et du président Pétion qui déclarent offrir une récompense au capitaine qui
  sauverait Clauzel. Le 11 septembre 1816, le 2e conseil de
  guerre de la 1re division militaire le condamne à la peine de mort par
  contumace. Il est à noter que cette ordonnance est contraire à la convention
  militaire signée trois semaines plus tôt, le 3 juillet 1815 à Saint-Cloud, par les
  plénipotentiaires de Louis XVIII, et dont l'article XII stipule
  clairement : « continueront à jouir de leurs droits et
  libertés, sans pouvoir être inquiétés ni recherchés en rien, relativement aux
  fonctions qu'ils occupent ou auraient occupées, à leur conduite et à leurs
  opinions politiques. ». | 
 
 
  |   | 
  Il devient
  l'un des actionnaires de la Société coloniale de
  la vigne et de l'olivier, lancée en 1817 sur le
  vaste territoire de l'ex-Louisiane française par des centaines de planteurs français de Saint-Domingue et d'anciens
  généraux de l'Empire, tels Charles
  Lefebvre-Desnouettes et François Antoine Lallemand. De
  retour en Europe en 1820, dans sa terre de Secourrieu près de Toulouse, il
  sollicite la révision du jugement rendu contre lui, lorsqu'une ordonnance du
  20 juillet le déclare compris dans l'amnistie et le rétablit dans tous ses
  droits, titres, grades et honneurs. | 
 
 
  |   | 
  L'élection à
  la Chambre des députés (1829)[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Le 26
  mars 1829, à l'instigation d'un ancien sous-officier de l'armée d'Espagne, à qui il a
  sauvé la vie à la bataille des Arapiles, et qui est devenu un électeur influent de l'arrondissement de Rethel, le
  général Clauzel est élu1 député par le collège électoral du département des Ardennes,
  contre le comte de Jaubert2. Il siège sur les bancs de l'opposition, parmi les 221, et est réélu3, le 12 juillet
  1830, dans le 2e arrondissement des Ardennes (Rethel), contre le même comte de
  Jaubert4. | 
 
 
  |   | 
  La monarchie
  de Juillet et la conquête de l'Algérie[modifier | modifier le code] | 
 
 
  |   | 
  Se
  trouvant sur ses terres au moment des Trois
  Glorieuses, à la fin juillet 1830, Clauzel vient
  rapidement offrir ses services au nouveau roi, qui, le 12 août, le nomme
  commandant en chef de l'armée d'Afrique. Cette nomination l'oblige à se représenter devant ses
  électeurs, qui lui renouvellent son mandat le 21 octobre 18305. | 
 
 
  |   | 
   
  
   
    | Le maréchal Clauzel, gravure de Ruhière
    d'après Champmartin. | 
    
   
   | 
   | 
 
 
  |   | 
  Premier
  séjour en Algérie (fin 1830-début 1831)[modifier | modifier le code] | 
 
 
  |   | 
  Arrivé
  à Alger comme
  général en chef des troupes d'Algérie, il fait adopter les nouvelles couleurs
  tricolores par l'armée, fonde quelques institutions[réf. nécessaire] sur
  la côte d'Afrique et tente le premier de lancer un mouvement de colonisation.
  Sur le plan militaire, il occupe Blida et Médéa avec les troupes du colonel
  Schauenburg, expédition à la suite de laquelle
  le drapeau tricolore flotte au sommet de l'Atlas. Devant céder les provinces de Constantine et d'Oran à des princes tunisiens, il est écarté pour ce
  motif et remplacé en octobre par le général Berthezène. Mis en disponibilité, il est désigné le 8 mars 1831,
  pour prendre le commandement des 8e et 9e divisions militaires, nomination qui reste lettre
  morte[réf. nécessaire]. Il est réélu à Rethel6 le 5 juillet 1831, contre M. Savoye, le maire de Rethel7. Le 30 juillet 1831, le roi l'élève à la dignité
  de maréchal de France ; il doit alors se représenter, mais est confirmé dans
  son mandat de député par le collège électoral8 le 1er septembre. La haute faveur accordée par le roi
  n'empêche pas son bénéficiaire de faire preuve d'une opposition active au
  ministère. Il est de nouveau réélu à Rethel le 21 juin 1834 le
  maintiennent[pas clair] à la Chambre9, mais il est également élu10 dans le 1er collège électoral de l'Ariège (Pamiers) contre M. de Saintenac11. Il opte pour
  Rethel où il continue de soutenir les idées libérales et la cause de
  l'Algérie. | 
 
 
  |   | 
  Second séjour
  en Algérie et l'échec comme gouverneur général[modifier | modifier le code] | 
 
 
  |   | 
  Renvoyé en
  Algérie en 1832, il prend Guelma en 1834 et y installe un camp permanent. Nommé
  gouverneur général le 8 juillet 1835, il se heurte à l'émir Abd el-Kader : il prend et
  brûle Mascara,
  capitale de l'émir. En novembre 1836, il lance la première expédition contre Constantine, encore aux mains d'Ahmed Bey, opération qui se solde par un échec faute de renforts et de
  ressources adéquates. Cet échec vient clore définitivement sa carrière
  militaire, puisqu'il est remplacé le 12 février 1837 par le
  général Damrémont. Clauzel reste par la suite sans commandement. Il continue
  de siéger à la Chambre des députés, réélu12, le 4 novembre 1837, pour le collège de Rethel, et de
  nouveau le 2 mars 1839. Louis-Napoléon
  Bonaparte cherchant à attacher Clauzel à sa
  cause, le contacte en 1839 par l'intermédiaire du baron Desportes, mais le
  maréchal refuse cependant d'entrer dans la conspiration bonapartiste qui
  aboutira l'année suivante au fiasco de Boulogne-sur-Mer13. | 
 
 
  |   | 
  Il meurt
  d'une attaque d'apoplexie au
  château du Secourieu, à Cintegabelle, le 21 avril 1842, dans le cours de sa dernière
  législature, au milieu des soucis d'une situation de fortune devenue
  mauvaise. | 
 
 
  |   | 
  Vie familiale[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Fils aîné
  de Gabriel Clauzel (né le 8 juin 1735 - Lavelanet), marchand, maire de
  Mirepoix, procureur syndic du district de Mirepoix, membre du
  directoire du département de l'Ariège, et de Blanche Castel (née le 4 avril 1747), Bertrand
  Clauzel épouse le 4 janvier 1804 à New
  York, Marie Henriette Adam (3 janvier
  1786 - Saint-Domingue † 18 avril 1841 - Cintegabelle), veuve de
  Jean-Pierre Larguier (1771 † 1802) et fille de Pierre-Michel Adam, fermier
  général des Postes de Saint-Domingue et entrepreneur des hôpitaux militaires
  de Port-au-Prince, et d'Anne Lenegre. Ensemble, ils ont : | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Henri (1804 † 1862), 2e comte Clauzel (1842), marié en
  1834, avec Camille Costay 1814-1858, séparés, dont : | 
 
 
  |   | 
  o   
  Henriette (1835
  † 1889), mariée avec René (12 janvier 1835 † 19 janvier 1876),
  comte de Pierres, directeur des haras d'Algérie, commandant des Mobiles du Puy-de-Dôme (1870-1871) ; | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Jeanne Gabrielle Blanche (7 novembre 1805 - Mirepoix (Ariège) † 6
  décembre 1887 - Paris), mariée, en 1820, avec Jean-Armand Deville (né en
  1782), dont postérité, puis, en 1833, avec son cousin germain Pierre Bourlon (30 juin
  1801 - Port-au-Prince † 26 octobre 1873 - Paris), administrateur de
  sociétés, conseiller général de la Vienne (1852), député de la Vienne (1852-1869), sans
  hoirs ; | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Gabriel (né en
  1813, mort jeune) ; | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Gabriel Bruno Jean Henri, dit Bertrand (1815 †
  1884), 3e comte Clauzel (1862), directeur de la compagnie des Chemins de fer d'Orléans, marié, le 29 juin 1842, à Notre-Dame de Lorette
  (mariage civil en la mairie du IIe arrondissement
  de Paris le 28 juin), avec Aglaé
  Alexandrine Joséphine Plantade (29 juin 1816 - Paris † 5 septembre
  1888 - Le Vésinet), petite-fille de Charles
  Henri Plantade, dont : | 
 
 
  |   | 
  o   
  René (1843 †
  1915), 4e comte Clauzel (1884), conseiller maître à la cour des
  comptes, marié avec Jeanne Wateau (1858 † 1927), sans postérité ; | 
 
 
  |   | 
  o   
  Gaston (1845 † 1927), 5e comte Clauzel
  (1915), ingénieur général du génie maritime, marié en 1873 avec Joséphine
  Clavaud (1851 † 1926), dont : | 
 
 
  |   | 
  § 
  un fils, marié, dont postérité. | 
   | 
 
 
  |   | 
  La
  descendance du maréchal Clauzel compte parmi les familles subsistantes
  de la noblesse d'Empire. | 
 
 
  |   | 
  Armoiries[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Figure | 
  Blasonnement | 
   | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
  Armes du baron Clauzel et
  de l'Empire | 
   | 
 
 
  |   | 
  Écartelé ; au
  premier d'azur à trois étoiles une et deux d'argent ; au deuxième des
  barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à deux chevrons d'or l'un
  sur l'autre ; accompagnés de trois mains appaumées d'argent, deux en
  chef et une en pointe ; au quatrième d'or à trois crabes de gueules.14,15 | 
   | 
 
 
  |   | 
  Livrées : bleu, blanc, jaune, rouge14. | 
   | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
  Armes du comte
  Clauzel et de l'Empire (1813, confirmé le 31
  décembre 1814), Grand-croix de la Légion
  d'honneur (14 février 1815), Grand-croix de
  l'Ordre de la Réunion (3
  avril 1813), Chevalier de Saint-Louis (1er juin 1814), pair de
  France (2 juin 1815 (Cent-Jours)), | 
   | 
 
 
  |   | 
  Écartelé : au 1, du quartier des comtes
  militaires ; au 2, d'azur, à trois étoiles mal-ordonnées d'argent ;
  au 3, d'azur, à deux chevrons d'or, accompagnés de trois mains dextres
  appaumées d'argent ; au 4, d'or, à trois crabes de gueules, les
  tenailles en haut.16 | 
   | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
  Armes du comte
  Clauzel (Restauration) | 
   | 
 
 
  |   | 
  Écartelé : au 1, d'azur, à trois étoiles mal-ordonnées
  d'argent; aux 2 et 3, d'azur, à deux chevrons d'or, acc. de trois mains
  dextres appaumées d'argent; au 4, d'or, à trois crabes de gueules, les
  tenailles en haut.17 | 
   | 
 
 
  |   | 
  Titres[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Baron Clauzel et de l'Empire (décret du 15 août 1809, lettres
  patentes du 11 juin 1810 (Saint-Cloud)) ; | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Comte Clauzel et de l'Empire (décret de 1813, confirmé le 31
  décembre 1814, sans lettres patentes) ; | 
 
 
  |   | 
  Décorations[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Légion d'honneur : | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  Légionnaire (25 mars 1804), puis, | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  Commandant (14 juin 1804), puis, | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  Grand officier (17 juillet 1809), puis, | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  Grand-croix de la Légion d'honneur (14 février 1815) ; | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Grand-croix de l'Ordre de la Réunion (3 avril 1813) ; | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Chevalier de Saint-Louis (1er juin 1814). | 
   | 
 
 
  |   | 
  Mandats politiques[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Pair de France (2 juin 1815 (Cent-Jours)) | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Député des Ardennes | 
   | 
 
 
  |   | 
  Hommages[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
    | 
   | 
 
 
  |   | 
  « Les généraux qui semblaient devoir s’élever, les destinées de
  l’avenir, étaient Gérard, Clauzel, Foy, et Lamarque. C’étaient mes nouveaux maréchaux. » | 
 
 
  |   | 
  (Napoléon Bonaparte) | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Le nom de CLAUZEL est gravé au côté Ouest (34e colonne)
  de l’arc de triomphe de l’Étoile, à Paris. | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Une rue du 9 ème arrondissement de Paris porte
  son nom | 
   | 
 
 
  |   | 
  Notes et références[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  1.   
  ↑ Par 106 voix sur 193 votants et 250
  inscrits. | 
   | 
 
 
  |   | 
  2.   
  ↑ 53 voix | 
   | 
 
 
  |   | 
  3.   
  ↑ Par 174 voix sur 233 votants et 282
  inscrits. | 
   | 
 
 
  |   | 
  4.   
  ↑ 58 voix | 
   | 
 
 
  |   | 
  5.   
  ↑ Par 201 voix sur 212 votants et 289
  inscrits | 
   | 
 
 
  |   | 
  6.   
  ↑ Par 244 voix sur 287 votants et 331
  inscrits. | 
   | 
 
 
  |   | 
  7.   
  ↑ 34 voix | 
   | 
 
 
  |   | 
  8.   
  ↑ Par 226 voix sur 234 votants et 334
  inscrits | 
   | 
 
 
  |   | 
  9.   
  ↑ Par 170 voix sur 269 votants et 332
  inscrits, contre 83 voix à M. Lavocat. | 
 
 
  |   | 
  10. 
  ↑ Par 171 voix sur 284 votants et 346
  inscrits. | 
   | 
 
 
  |   | 
  11.  ↑ 110 voix. | 
   | 
 
 
  |   | 
  12. 
  ↑ Avec 149 voix sur 253 votants et 365
  inscrits. | 
   | 
 
 
  |   | 
  13. 
  ↑ Pierre Milza, Napoléon III, Paris, Perrin,
  2004, p. 102. | 
   | 
 
 
  |   | 
  14. 
  ↑ Revenir
  plus haut en :a et b second PLEADE [archive] (C.H.A.N. : Centre historique des Archives nationales (France)). | 
 
 
  |   | 
  15.  ↑ Nicolas Roret, Nouveau manuel complet du
  blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un
  armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte
  jusqu'à nos jours, etc..., Encyclopédie Roret, 1854,
  340 p. (lire
  en ligne [archive]) | 
 
 
  |   | 
  16. 
  ↑ La noblesse d'Empire [archive] sur le site de Thierry Pouliquen. | 
   | 
 
 
  |   | 
  17.  ↑ Johannes
  Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des
  armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un
  dictionnaire des termes du blason, G.B. van
  Goor, 1861, 1171 p. (lire en ligne [archive]), [1] [archive] et compléments sur
  Euraldic.com | 
 
 
  |   | 
  Voir aussi[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Archives[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Les
  papiers personnels de Bertrand Clauzel sont conservés aux Archives nationales sous la
  cote 226AP, voir la notice dans la salle
  des inventaires virtuelle des Archives nationales [archive] | 
 
 
  |   | 
  Bibliographie[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Notices d'autorité | 
   | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  VIAF | 
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  o    ISNI | 
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  |   | 
  o    BnF (données) | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  IdRef | 
   | 
 
 
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  o    LCCN | 
   | 
 
 
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  GND | 
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  o    Belgique | 
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  o    Pologne | 
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  o    Israël | 
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  |   | 
  o    NUKAT | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  WorldCat | 
   | 
 
 
  |   | 
  Notices biographiques | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Charles Gavard, Galerie
  des maréchaux de France... [archive], Au bureau des Galeries historiques de Versailles, 1839, 127 pp. | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Bertrand Clauzel » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (lire sur Wikisource) | 
 
 
  |   | 
  ·        
  A. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre
  Bégat, Fastes de la Légion d'honneur, biographie de
  tous les décorés accompagnée de l'histoire législative et réglementaire de
  l'ordre, vol. 5, 1847 [détail de l’édition] (BNF 37273876) | 
 
 
  |   | 
  ·        
  « Bertrand Clauzel », dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et
  de mer de 1789 à 1850, 1852 [détail de l’édition] | 
 
 
  |   | 
  ·        
  « Bertrand Clauzel » [archive] sur le site de
  l'Assemblée nationale (notice tirée de Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889) | 
 
 
  |   | 
  Ouvrages | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Pellissier de Reynaud J. Dumaine, Annales algériennes Édition de 1854, Mémoires et Documents, Libraire Éditeur de l'Empereur | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Narcisse Faucon, Le Livre d'or de l'Algérie,
  Librairie algérienne et coloniale, 1889 | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Marie-Antoinette Durrieu, Bertrand Clauzel, général de Napoléon,
  Imprimerie Lussaud, 2012 | 
 
 
  |   | 
  Articles
  connexes[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  Sur les autres
  projets Wikimedia : | 
 
 
  |   | 
  ·            
  Bertrand Clauzel, sur Wikimedia Commons | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Liste des généraux de la Révolution et du Premier Empire | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Campagne d'Italie (1799-1800) | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Liste des membres de la noblesse d'Empire | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Armorial des comtes de l'Empire | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Familles subsistantes de la noblesse d'Empire | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Histoire de l'Algérie | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Conquête de l'Algérie par la France | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Maréchal de France | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Familles subsistantes de la noblesse française (A à K) | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Liste des familles françaises anoblies et/ou titrées au XIXe siècle | 
   | 
 
 
  |   | 
  Liens
  externes[modifier | modifier le code] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Service historique de l'armée de terre – Fort de Vincennes – Dossier S.H.A.T. Côte : 6 Yd 37. | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Notices d'autorité | 
   | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
   | 
 
 
  |   | 
  o   
  VIAF | 
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  o    ISNI | 
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  |   | 
  o    BnF (données) | 
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  o   
  IdRef | 
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  o    LCCN | 
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  GND | 
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  o    Belgique | 
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  o    Pays-Bas | 
   | 
 
 
  |   | 
  o    Pologne | 
   | 
 
 
  |   | 
  o    Israël | 
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  Ressource relative aux militaires | 
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  o    base Léonore | 
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  Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies
  généralistes | 
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  o    Britannica [archive] | 
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  o    Deutsche Biographie [archive] | 
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  o    Hrvatska Enciklopedija [archive] | 
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  o    Proleksis enciklopedija [archive] | 
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  |   | 
  ·        
  Bertrand Clauzel sur
  roglo.eu [archive]. | 
   | 
 
 
  |   | 
   [masquer] | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  Gouverneur de l'Algérie | 
 
 
  |   | 
  Précédé par | 
    | 
  Suivi par | 
 
 
  |   | 
  Louis
  Auguste Victor de Ghaisne de Bourmont | 
    | 
  Pierre Berthezène | 
 
 
  |   | 
    | 
  12 août 1830 - 21
  mars 1831 | 
    | 
 
 
  |   | 
  Jean-Baptiste Drouet
  d'Erlon | 
    | 
  Charles-Marie Denys
  de Damrémont | 
 
 
  |   | 
    | 
  8 juillet 1835 - 12
  février 1837 | 
    | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
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  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  ·          | 
 
 
  |   | 
   
  
   | 
 
 
  |   | 
  Catégories :  | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Général de la Révolution française promu en 1799 | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Maréchal de France de la monarchie de Juillet | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Naissance en septembre 1772 | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Naissance à Mirepoix (Ariège) | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Décès en avril 1842 | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Décès en Haute-Garonne | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Baron de l'Empire | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Comte de l'Empire | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Grand-croix de l'ordre de la Réunion | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Grand-croix de la Légion d'honneur | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Pair de France (Cent-Jours) | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Député de la Restauration | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Député de la monarchie de Juillet | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Député des Ardennes | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Militaire français de la conquête de l'Algérie | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Gouverneur de l'Algérie | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Armée d'Afrique | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Décès à 69 ans | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Personnalité inhumée dans l'Ariège | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Chef militaire français des guerres napoléoniennes | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Militaire français des guerres de la Révolution française | 
 
 
  |   | 
  ·        
  Personnalité de la colonisation française des Amériques | 
 
 
  |   | 
  [+] | 
   | 
 
 
  |   | 
  ·        
  La dernière modification de cette page a été
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